Rien, nada, nothing…
Si ce n’est de l’ennui.
Un ennui…MORTEL !!!
Pourtant j’avoue (« j’en ai bavé pas vous, mon amour… ») avoir presque trépigné, tant ce film me donnait envie.
Le titre, c’est con, m’avait séduite…allez savoir pourquoi !
Et puis l’histoire aussi…
Celle d’Anders, qui vit ses derniers jours au centre de réhabilitation où il soignait sa dépendance à la came.
Le 31 août, entre autres, il va saboter son entretien d’embauche, croiser des potes, l’amoureuse de sa soeur, qui n’a pas souhaité le rencontrer…
Tout le monde y va de ses maladresses, de ses beaux discours…je ne sais pas exactement combien de fois j’ai baillé pendant la séance.
Etrangement, je n’ai rien éprouvé, aucun sentiment non, pas la moindre particule de sensations, si ce n’est ce terrible ennui qui ne m’a pas lachée.
Les dialogues aussi plats qu’une prothèse mammaire percée. La musique (les différentes critiques que j’avais lues parlaient de Joy Division alors oui forcément moi ça me faisait bander) n’a pas su me sortir de ma torpeur du dimancbe après-midi.
Je crois que c’est la première fois que j’ai attendu l’overdose de qqun, sourires…
Ce qu’il faut retenir de ce 31 août à Oslo ?
Le petit goûter avec Val, en sortant du ciné. Les saveurs simples de la vie.
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Sandylounastrangeworld 